Gnosticisme universel
Les Mo’ai de Rapa Nui

Les Mo’ai de Rapa Nui

Les moaï, localement mo’ai, sont les statues monumentales de l’Île de Pâques. La majorité de ces monolithes est sculptée dans du tuf issu principalement de la carrière de Rano Raraku.

Rapa Nui, ou l’Île de Pâques

Quelques-uns ont cependant été sculptés dans d’autres roches volcaniques de l’île (basalte, trachyte ou tuf volcanique). Leur taille varie de 2,5 à 9 mètres, pour un poids moyen de 14 tonnes, jusqu’à 80 tonnes pour les plus grosses. Toutes sont des monolithes tournés principalement vers l’intérieur de l’île à l’exception du Ahu Akivi dont les moaï regardent l’océan.

Les moaï tels qu’ils devaient être dans leur état final, après édification, possédaient des yeux blancs fait de coraux et l’iris rouge en tuf volcanique ou noir obsidienne. Certains d’entre eux portent une sorte de coiffe, le pukao, fait de tuf rouge, issu de la carrière de Puna Pau, et pesant lui-même plusieurs tonnes.

Jusqu’à il y a peu, on ne distinguait des statues Moaï que leur tête, leur cou et tout au plus l’amorce d’un torse. En 2010 et 2011, une équipe d’archéologues et de bénévoles codirigée par Jo Anne Van Tilburg et Cristián Arévalo Pakarati, tous deux inspirés par les recherches menées en 1916 par Catherine Routledge, ont entrepris d’excaver 90 statues afin d’étudier leur partie enterrée.

Les résultats acquis à partir de ces excavations sont surprenants. Plus de la moitié de la taille des Moaï est enfouie sous terre et révèle l’existence d’un corps, de bras et de mains. Chez les statues représentant une femme, souvent au ventre gonflé, les mains sont ramenées en avant de part et d’autre du nombril, ce qui est interprété comme un signe de fertilité. Plus étonnant, le dos des statues présentent des inscriptions (pétroglyphes) qui pourraient constituer une écriture ancienne, ainsi que des motifs de tailles et aux formes diverses. – Source : Wikipedia

Pour plus de détails sur le projet d’excavation et de préservation des Moaï, et pour voir plus de photos, rendez-vous au : www.eisp.org

Samaël Aun Weor à propos de l’Île de Pâques

« Nous savons bien, grâce aux traditions antiques, que la race humaine était composée de GÉANTS : géants de l’Atlantide, géants de la Lémurie, géants de l’Époque Hyperboréenne, géants de l’Époque Polaire. »

« L’Île de Pâques, qui est un reste de l’antique Lémurie, nous y rencontrons encore d’impressionnants monolithes ciselés par des Titans. L’Australie est aussi un autre reste de la Lémurie : on y trouve beaucoup de traditions du vieux continent. »

« Dans la Lémurie, n’importe quel être humain pouvait vivre environ 12 à 15 siècles, c’est-à-dire un peu plus de mille ans. C’était une race forte, vigoureuse ; on pouvait parfaitement saisir une énorme pierre et la lancer au loin avec une grande force ; pour bouger une pierre pareille, nous aurions besoin maintenant d’une puissante grue, et peut-être même qu’avec la grue nous n’y arriverions pas. Ainsi, les Lémures étaient une race vigoureuse, très forte… »

« La Lémurie était habitée ; il est clair que lorsqu’arriva le monde géant HERCOLUBUS qui, entre parenthèses, se rapproche également aujourd’hui de notre Race Aryenne, il produisit alors des événements catastrophiques dans le vieux continent Mu : le feu des volcans jaillit à la surface, de toutes parts le feu liquide brûla la face de la Terre, d’horribles tremblements de terre et de gigantesques raz de marée anéantirent les grandes villes du continent lémure, et, finalement, celui-ci sombra peu à peu dans les vagues déchaînées du Pacifique. »

Webmestre

Le présent blogue est un projet personnel dont le but est de partager l’enseignement du Vénérable Maître Samaël Aun Weor. Ma motivation derrière ce travail est mon profond intérêt pour l’origine des religions et de la spiritualité qui à mon avis se trouve dans la Doctrine du Christ intime.

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